Jocelin & Sonie
samedi 5 mai 2012
mardi 11 octobre 2011
Vidéo de pêche sur un tributaire du lac Ontario.
Bonjour à tous, voici un petite résumé de 3 jours de pêche sur un tributaire du lac Ontario, le cadre n'est pas toujours celui que j’apprécie le plus, mais la qualité de pêche est assez satisfaisante pour s'y aventurer, bien qu'il y ai des places moins productives mais plus dans la nature..
Je suis donc désolé par avance pour les amoureux de nature comme moi.
Je voulais aussi mettre en lumière le fait que c'est un montage vidéo, les montaisons de poissons au début du vidéo ne correspondent pas réellement à ce que j'ai vue durant ces 3 jours mais plutôt 2 semaines avant ou j'ai eu la chance de voir une grosse "run", les autres jours on parlait de 20 poissons qui montaient durant la nuit.
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Je suis donc désolé par avance pour les amoureux de nature comme moi.
Je voulais aussi mettre en lumière le fait que c'est un montage vidéo, les montaisons de poissons au début du vidéo ne correspondent pas réellement à ce que j'ai vue durant ces 3 jours mais plutôt 2 semaines avant ou j'ai eu la chance de voir une grosse "run", les autres jours on parlait de 20 poissons qui montaient durant la nuit.
A bientôt pour de nouvelles aventures.
vendredi 30 septembre 2011
Bonjour à tous, comme promis voici le résumé de mon retour en terre étrangère. Mardi matin je pars de chez moi à 3h du mat pour un bon 4h de route. J'imagine déjà la rivière en ébullition, rempli de monstres de plus de 15 kgs comme la semaine dernière.
Mais comme souvent, lorsque l'on espère trop quelque chose, on est déçu. En effet lorsque j'arrive, l'eau est basse et claire, tout ce que je ne voulais pas. Il y a quelques poissons que j'observe monter, mais rien comparer à la semaine précédente...
Il est 7h du mat quand je me mets en action, dans le spot le plus difficile puisqu'il y a déjà du monde plus haut dans les fosses. Je surplombe plusieurs beaux poissons et j'attaque le premier, après 3 passages, je sens une tension dans le fil, je lève calmement la canne et je vois les coups de tête monstrueux qui viennent exploser a la surface de l'eau, le poisson est bien piqué, la journée commence bien.
Je continu plus bas, là ou les poissons sont les plus frais, ils viennent à peine de rentrer dans la rivière, ils sont fort et ont une couleur claire ambrée comme j'aime.
J'en ferais plusieurs autres tout au long de la journée, mais m*** que c'est difficile. Les poissons sont stressés par le manque d'eau. J’en prendrais une vingtaine quand même, mais seulement des poissons moyens, aucun monstre comme je l'aurais voulu.
En effet, on annonçait 30 mm de pluie le lundi, c'est pour cela que j’étais partie mardi matin, et au final, pas une goutte de pluie !!
Le mardi soir il se met à bien pleuvoir, ça va être bon, je suis remonté à fond, je pars à l’hôtel à 7h du soir pour dormir et me lever tôt le lendemain matin.
Réveil à 6h du mat mercredi, direction la rivière à 6h30, il pleut encore un peu, mais la rivière n'a pas bougé, toujours clair et basse, mais la nuit a permis a plusieurs groupes de saumons de monter, et temps que la lumière est faible, la pêche va être excellente.
J'observe en amont, et là je vois des poissons monter régulièrement, 5-6 sont dans 1 mètre d'eau et je peux observer la nageoire dorsale !! Il n'y a personne, je suis seul au monde avec ces magnifiques poissons.
J'attaque donc, vois aussi de belles farios me passer sous le nez, et je piquerais 4 des 5 poissons dans le courant. Je redescends, et en pique encore et encore, c'est la folie, bien qu'il n'y ai pas énormément de poissons comme la semaine précédente, je suis seul, et donc je peux pêcher a vue sans effrayer le poisson en attaquant d'aval vers amont. Je les piquerais presque tous. La rivière est très différente à l'endroit où je suis, je suis à la limite entre l'eau lente, et le premier courant de la rivière, et donc un décalage entre un trou de 1m50 d'eau et un rapide de 30 cm d'eau. Je casserais ma canne 11 pieds durant un combat avec un poisson frais, c'est pour vous dire la puissance de ces poissons..
Ensuite, en pêchant sur 2 poissons placer juste après un pont, que je piquerais tous les deux, j'observe dans l'ombre de ce pont plusieurs mouvements de poissons, mais difficile à voir, et à deux reprises j'observe un poisson monstrueux, le problème est qu'il apparait, disparait et se déplace et que la visibilité est réduite par le manque de lumière. Je décide de patienter, je suis le seul là et personne dans les environs, je vais prendre mon temps et le laisser se placer. Je descends donc en aval du pont ou j'ai observé quelques mouvements de poissons. Je patiente, observe, remonte, puis redescends à nouveau, je fais cela plusieurs fois.
En remontant, juste a la limite du pont, une masse apparait, pas énorme, mais plus clair que tous les autres, je pense tout de suite a un petit chinook ou un coho, pas long mais large. Je l'attaque avec un œuf, 3-4 dérive, et le poisson est pendu. gros combat, gros coup de tête, et la je vois une magnifique brune (fario lacustre), un beau morceau d'environ 7 lbs. Le combat est différent du chinook, plus de vivacité, plus de coups de tête et plus d'endurance, le temps d'appeler mon ami pour lui dire de venir prendre les photos et le poisson est remis à l'eau, une belle rencontre encore, car ces poissons se font rare dans cette rivière, c'est d’ailleurs l’espèce que j’essaye toujours de trouver en premier dans la riviere, plus difficile a voir, mais superbe pour les photos
Je reprends mes esprits, et me remet en action, je retourne là ou j'avais piqué la brune, et 2 mètres plus haut, carrément sous le pont, je vois le poisson que j'avais vue auparavant, un monstre, j'avais pris beaucoup de chinook en deux jours et je savais que j'avais affaire a un sérieux client sur ce coup. Vérification de l’équipement, et c'est partie, je suis bien placé, il est stable, entre deux eaux, dans la fosse la plus profonde. Quelques passages, puis arrêt du fil, je lève la canne lentement, mais fermement, et la, le poisson se met a exploser la surface avec sa tête monstrueuse, plusieurs gros coups de tête pour essayer de se déprendre de l'imitation, la partie du combat qui vous fait monter l’adrénaline au maximum... Mon ami était pas loin et tout de suite, sans avoir vraiment vue la bête, je l'appelle en anglais "Ho shit jason it's a monster, a big one !!!" tout de suite il arrive et sur le coup je me contente de maintenir la canne haute en observant impuissant, le poisson me dérouler la soie en quelques secondes et sortir le backing comme si de rien était. C'est là, réellement, que j'ai pris conscience que j’étais connecté avec un train, la sensation étant très proche.
Je n'arrivais a rien avec ce poisson, pourtant je tirer comme un fou accrocher a deux mains sur ma canne avec seulement comme avançons du 10 lbs test. Au bout d'une minute je regarde mon moulinet et observe qu'il ne me reste plus qu'une dizaine de tours de backing dans la bobine, j'en revenais pas... je me mets a courir et essaye d'empêcher le poisson de passer de l'autre coter d'un énorme pilier. Le poisson me met encore des accélérations incroyables, a chaque fois que je vois ma soie rentrer de nouveau dans la bobine, il me remet une claque pour ensuite me vider mon backing au complet...après plus de 30 minutes de combat, il vient enfin, le poisson est estimé a plus de 40 lbs, peut être 45 lbs (20 kgs)... peu importe, je tiens le poisson que j'avais rêvé depuis la première fois que j'avais mis les pieds dans cette rivière, et même mon ami, qui est un local, qui habite à côté de la rivière et travail pour la passe migratoire, n'avait jamais vue un saumon chinook aussi gros dans la rivière...
Après ça, j'ai continué à pêché plus haut, d'autres poissons, une autre brune femelle pleine d’œufs, mais ma tête était encore avec ce poisson monstrueux qui est retourné en pleine santé dans sa rivière natale...
Mais comme souvent, lorsque l'on espère trop quelque chose, on est déçu. En effet lorsque j'arrive, l'eau est basse et claire, tout ce que je ne voulais pas. Il y a quelques poissons que j'observe monter, mais rien comparer à la semaine précédente...
Il est 7h du mat quand je me mets en action, dans le spot le plus difficile puisqu'il y a déjà du monde plus haut dans les fosses. Je surplombe plusieurs beaux poissons et j'attaque le premier, après 3 passages, je sens une tension dans le fil, je lève calmement la canne et je vois les coups de tête monstrueux qui viennent exploser a la surface de l'eau, le poisson est bien piqué, la journée commence bien.
Je continu plus bas, là ou les poissons sont les plus frais, ils viennent à peine de rentrer dans la rivière, ils sont fort et ont une couleur claire ambrée comme j'aime.
J'en ferais plusieurs autres tout au long de la journée, mais m*** que c'est difficile. Les poissons sont stressés par le manque d'eau. J’en prendrais une vingtaine quand même, mais seulement des poissons moyens, aucun monstre comme je l'aurais voulu.
En effet, on annonçait 30 mm de pluie le lundi, c'est pour cela que j’étais partie mardi matin, et au final, pas une goutte de pluie !!
Le mardi soir il se met à bien pleuvoir, ça va être bon, je suis remonté à fond, je pars à l’hôtel à 7h du soir pour dormir et me lever tôt le lendemain matin.
Réveil à 6h du mat mercredi, direction la rivière à 6h30, il pleut encore un peu, mais la rivière n'a pas bougé, toujours clair et basse, mais la nuit a permis a plusieurs groupes de saumons de monter, et temps que la lumière est faible, la pêche va être excellente.
J'observe en amont, et là je vois des poissons monter régulièrement, 5-6 sont dans 1 mètre d'eau et je peux observer la nageoire dorsale !! Il n'y a personne, je suis seul au monde avec ces magnifiques poissons.
J'attaque donc, vois aussi de belles farios me passer sous le nez, et je piquerais 4 des 5 poissons dans le courant. Je redescends, et en pique encore et encore, c'est la folie, bien qu'il n'y ai pas énormément de poissons comme la semaine précédente, je suis seul, et donc je peux pêcher a vue sans effrayer le poisson en attaquant d'aval vers amont. Je les piquerais presque tous. La rivière est très différente à l'endroit où je suis, je suis à la limite entre l'eau lente, et le premier courant de la rivière, et donc un décalage entre un trou de 1m50 d'eau et un rapide de 30 cm d'eau. Je casserais ma canne 11 pieds durant un combat avec un poisson frais, c'est pour vous dire la puissance de ces poissons..
Ensuite, en pêchant sur 2 poissons placer juste après un pont, que je piquerais tous les deux, j'observe dans l'ombre de ce pont plusieurs mouvements de poissons, mais difficile à voir, et à deux reprises j'observe un poisson monstrueux, le problème est qu'il apparait, disparait et se déplace et que la visibilité est réduite par le manque de lumière. Je décide de patienter, je suis le seul là et personne dans les environs, je vais prendre mon temps et le laisser se placer. Je descends donc en aval du pont ou j'ai observé quelques mouvements de poissons. Je patiente, observe, remonte, puis redescends à nouveau, je fais cela plusieurs fois.
En remontant, juste a la limite du pont, une masse apparait, pas énorme, mais plus clair que tous les autres, je pense tout de suite a un petit chinook ou un coho, pas long mais large. Je l'attaque avec un œuf, 3-4 dérive, et le poisson est pendu. gros combat, gros coup de tête, et la je vois une magnifique brune (fario lacustre), un beau morceau d'environ 7 lbs. Le combat est différent du chinook, plus de vivacité, plus de coups de tête et plus d'endurance, le temps d'appeler mon ami pour lui dire de venir prendre les photos et le poisson est remis à l'eau, une belle rencontre encore, car ces poissons se font rare dans cette rivière, c'est d’ailleurs l’espèce que j’essaye toujours de trouver en premier dans la riviere, plus difficile a voir, mais superbe pour les photos
Je reprends mes esprits, et me remet en action, je retourne là ou j'avais piqué la brune, et 2 mètres plus haut, carrément sous le pont, je vois le poisson que j'avais vue auparavant, un monstre, j'avais pris beaucoup de chinook en deux jours et je savais que j'avais affaire a un sérieux client sur ce coup. Vérification de l’équipement, et c'est partie, je suis bien placé, il est stable, entre deux eaux, dans la fosse la plus profonde. Quelques passages, puis arrêt du fil, je lève la canne lentement, mais fermement, et la, le poisson se met a exploser la surface avec sa tête monstrueuse, plusieurs gros coups de tête pour essayer de se déprendre de l'imitation, la partie du combat qui vous fait monter l’adrénaline au maximum... Mon ami était pas loin et tout de suite, sans avoir vraiment vue la bête, je l'appelle en anglais "Ho shit jason it's a monster, a big one !!!" tout de suite il arrive et sur le coup je me contente de maintenir la canne haute en observant impuissant, le poisson me dérouler la soie en quelques secondes et sortir le backing comme si de rien était. C'est là, réellement, que j'ai pris conscience que j’étais connecté avec un train, la sensation étant très proche.
Je n'arrivais a rien avec ce poisson, pourtant je tirer comme un fou accrocher a deux mains sur ma canne avec seulement comme avançons du 10 lbs test. Au bout d'une minute je regarde mon moulinet et observe qu'il ne me reste plus qu'une dizaine de tours de backing dans la bobine, j'en revenais pas... je me mets a courir et essaye d'empêcher le poisson de passer de l'autre coter d'un énorme pilier. Le poisson me met encore des accélérations incroyables, a chaque fois que je vois ma soie rentrer de nouveau dans la bobine, il me remet une claque pour ensuite me vider mon backing au complet...après plus de 30 minutes de combat, il vient enfin, le poisson est estimé a plus de 40 lbs, peut être 45 lbs (20 kgs)... peu importe, je tiens le poisson que j'avais rêvé depuis la première fois que j'avais mis les pieds dans cette rivière, et même mon ami, qui est un local, qui habite à côté de la rivière et travail pour la passe migratoire, n'avait jamais vue un saumon chinook aussi gros dans la rivière...
Après ça, j'ai continué à pêché plus haut, d'autres poissons, une autre brune femelle pleine d’œufs, mais ma tête était encore avec ce poisson monstrueux qui est retourné en pleine santé dans sa rivière natale...
vendredi 12 août 2011
Les rivières des Alpes en France.
Bonjour à tous, me voici bientôt de retour au Quèbec et il me devait de vous faire partager une infime partie des paysages magnifiques que j'ai pu voir tout au long des cours d'eau de montagne de la Haute-Savoie et Savoie.
Lorsque l'on se retrouve dans des conditions comme celle-ci, la pêche devient un autre sport, outre le fait que les poissons sont nés dans la riviere et donc c'est très méfiant, l'eau est cristalline ce qui rend la tache encore plus compliqué, au moindre geste brusque, même à plusieurs mètres, le poisson à déjà filé. C'est dans des moments comme cela qu'il faut se remettre en question, et pêcher le plus naturellement possible et donc le plus fin possible.
Deux techniques deviennent necessaires pour prendre du poisson sauvage, la pêche en sèche et surtout la pêche en nymphe à vue pour les plus gros spécimen.
Plus de photos au prochain article. Bonne journée.
Ce qui rend la pêche encore plus exceptionnelle, outre des paysages magnifiques et une eau pure, c'est la présence en grande quantité de la truite fario sauvage, ainsi que du grayling (Thymallus thymallus).
Lorsque l'on se retrouve dans des conditions comme celle-ci, la pêche devient un autre sport, outre le fait que les poissons sont nés dans la riviere et donc c'est très méfiant, l'eau est cristalline ce qui rend la tache encore plus compliqué, au moindre geste brusque, même à plusieurs mètres, le poisson à déjà filé. C'est dans des moments comme cela qu'il faut se remettre en question, et pêcher le plus naturellement possible et donc le plus fin possible.
Deux techniques deviennent necessaires pour prendre du poisson sauvage, la pêche en sèche et surtout la pêche en nymphe à vue pour les plus gros spécimen.
Plus de photos au prochain article. Bonne journée.
dimanche 1 mai 2011
Prix de conservation le plus prestigieux décerné à Monsieur Saumon
| Press Releases |
http://asf.ca/news.php?id=666&type=press Prix de conservation le plus prestigieux décerné à Monsieur SaumonApril 28th, 2011 Photo St. Andrews (Nouveau-Brunswick) ... Le mercredi 27 avril à Montréal, la Fédération du saumon atlantique (FSA) a présenté son prix de conservation le plus prestigieux à Yvon Côté, baptisé Monsieur Saumon, au Québec. Le prix a été décerné à la réunion du conseil de la FSA par les présidents des conseils canadien et américain afin d’honorer l’engagement de leur collègue envers la conservation du saumon atlantique sauvage et de son habitat. « Yvon Côté a dirigé la Fédération québécoise pour le saumon Atlantique (FQSA), conseil régional de la FSA au Québec, avec assurance et lucidité alors qu’elle traversait une période difficile, ce qui lui a valu des louanges de tous les secteurs du monde du saumon atlantique, de dire l’honorable Michael Meighen, président de la FSA (Canada). Yvon va bien au-delà de ce qu’impose le devoir pour résoudre les problèmes dans le respect et la coopération, tout en sollicitant la participation de toutes les parties prenantes. » Au Québec, il a ouvert la voie à la création d’un « Plan de développement économique du saumon atlantique » financé par le gouvernement fédéral qui accorde des fonds pour favoriser la conception et la réalisation de projets de conservation dans les rivières de la province. Sa connaissance des enjeux et de la biologie du saumon n'est plus à démontrer. Au cours des 20 dernières années, Yvon a occupé divers postes au ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec. Pendant ce temps, il a réalisé de nombreux projets de recherche et a été le biologiste en chef du saumon jusqu'à son départ à la retraite de la fonction publique en 1996. Il est président de la FQSA depuis l'an 2000. Créée en 1984, la FQSA est un organisme sans but lucratif qui se voue à la préservation et à la mise en valeur des rivières à saumon, au développement de la pêche sportive au saumon et à la défense de la ressource saumon et de son habitat contre toutes les menaces. La FQSA compte 35 clubs affiliés de gestion de rivières et plus de mille membres. Le prix, présenté pour la première fois en 1975, est nommé à la mémoire de T.B. « Happy » Fraser de Montréal pour les nombreuses contributions faites au cours de sa vie pour protéger et conserver le saumon atlantique sauvage. Depuis lors, la FSA a honoré plus de 40 personnes comme M. Côté, qui ont fait une contribution notable pour assurer la survie de cette espèce emblématique. La Fédération du saumon atlantique est vouée à la conservation, à la protection et au rétablissement du saumon atlantique sauvage et des écosystèmes dont il dépend pour son bien-être et sa survie. Elle regroupe sept conseils régionaux (Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Terre-Neuve et Labrador, Île-du-Prince-Édouard, Québec, Maine et ouest de la Nouvelle-Angleterre) qui couvrent toute l'aire de distribution du saumon atlantique en au douce au Canada et aux États-Unis. -30- Photo Yvon Côté (au centre) s'est vu remettre le Prix de conservation de la FSA T.B. « Happy » Fraser par Bill Taylor, président de la FSA, et le sénateur Michael Meighen, président du conseil (Canada) de la FSA le 27 avril dernier à Montréal. Muriel Ferguson, Communications, FSA 506 529-1033 ou 506 529-4581 |
dimanche 24 avril 2011
Trois nouvelles vidéos Deep in Backing
Vidéos gratuites Deep In Backing
24 avril 2011 nouvelles vidéos gratuites
24 avril 2011 nouvelles vidéos gratuites
Brochets dans le backing par Julien Favard
Deep in Backing Attaques de brochets par Julien Favard
Steelhead sur la Pulaski par Pascal Paquette
Julien et Jocelin
mardi 19 avril 2011
Forum Spey Sherbrooke 2011
Forum Spey Sherbrooke 2011
2 eme éditions
Jour 1: 14 Mai 2010 8:00 – 17:00
Jour 2: 15 Mai 2010 8:00 – 16:00
Lieu de l’évènement:
Parc Lulien-Blanchard
755 rue Cabana
Sherbrooke, Québec
Jour 1: 14 Mai 2010 8:00 – 17:00
Jour 2: 15 Mai 2010 8:00 – 16:00
Lieu de l’évènement:
Parc Lulien-Blanchard
755 rue Cabana
Sherbrooke, Québec
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JOCELIN ET JULIEN
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